samedi 30 décembre 2017

Livre à compter en tissu pour Victor.

Victor, le deuxième garçon d'une de mes amies est né tout début septembre.
Voilà l'occasion rêvée de lui créer un cadeau de naissance.


~ 1,2,3 ... ~


~4,5,6...~



J'ai réalisé ce livre à compter avec différentes chutes de cotons imprimés 
que j'avais achetés  pour confectionner un coussin magique ici
Les pages sont entièrement ouatinées et les points à compter sont réalisés 
avec des pressions posés à la pince Kam.
Victor ne va sans doute pas jouer avec son cadeau tout de suite mais je suis certaine qu'il le prêtera à son grand frère Arthur qui vient de faire sa première rentrée à l'école !

Cette cousette me permet de participer au déstockage de Ta'Thilde puisque je conservais précieusement ces chutes de tissu depuis plus de deux ans dans mon placard !!
A bientôt, Béa.

samedi 16 décembre 2017

Un Gilet Monceau allongé...

La vie est parfois faite de tout plein de coïncidences.
Lorsque j'ai réalisé mon premier gilet Monceau clic-clic il y a déjà pas mal de temps, j'ignorais que ce modèle proposé par A cosy little world portait en fait le nom d'un parc parisien.
Il m'aura suffi d'un petit séjour dans la capitale pour à la fois acheter le tissu qui m'a servi pour réaliser cette deuxième veste et en profiter pour découvrir ce très joli parc du même nom.

~ Lainage Stop Tissus, Paris 20ème ~


Réalisé en 38, je n'ai pas eu besoin de faire de modification. J'ai juste allongé le patron d'une quinzaine de centimètres pour transformer ce gilet en veste.


~ doublure qui trainait depuis trop longtemps dans les placards de ma maman... ~

Pour plus de confort et de jolies finitions, je l'ai entièrement doublé, 
par contre pour le repassage, je semble plutôt septique !


Ce modèle est sans surprise et c'est une couture assez rapide lorsqu'on ne le double pas. Par contre, je regrette de ne pas avoir moins échancré l'encolure, remarque que je m'étais déjà faite pour la première version. J'essaierai d'y penser pour le prochain...

~ Parc Monceau, Paris 8ème ~

A bientôt, Béa